L’expérience accumulée : ne laissez pas tout ça partir en fumée

En fin de carrière, il y a deux choix : laisser nos connaissances s’évaporer ou les transmettre avant qu’elles ne prennent un aller simple vers l’oubli. Je m’appelle Philippe Le Provost et j’ai donc décidé que ce serait dommage de laisser tout ce bazar (parfois même utile !) disparaître. Avec Transmiz, je compte bien en faire profiter ceux qui veulent apprendre, et si ça peut en plus payer mes vacances, pourquoi pas ? Je vous invite à découvrir Transmiz.

L’anecdote fondatrice : merci, cher collègue désorienté

Il y a quelques temps, un collègue est venu me voir, l’air perdu. « Par où tu commencerais pour construire une formation ? » Cette simple question m’a fait un électrochoc : combien d’autres personnes dans son cas ne savent pas par où commencer pour transmettre leur savoir ? Le « pourquoi » faire ce blog est né ce jour-là. Une façon de rendre service, d’abord à ce collègue, puis à tous les futurs retraités en quête de sens et en même temps, d’un petit complément de revenu.

La légitimité forgée sur trois décennies

En trois tranches d’une dizaine d’années, j’ai parcouru bien des chemins. Et maintenant, à l’approche de la retraite, je me dis que c’est le moment parfait pour partager tout ça. Car sinon, que deviendront toutes ces petites astuces et grandes théories que j’ai amassées ? Direction le néant. Une perspective qui, avouons-le, n’est pas du tout enthousiasmante.

Le globe-trotter de l’automatisation

Automaticien pendant douze ans, j’ai parcouru les usines d’Europe avec une boîte à outils et un carnet de notes. Sur le terrain, j’ai appris à me débrouiller, à négocier et à trouver des solutions même dans les situations les plus imprévues.

Le formateur autodidacte : à la recherche du savoir perdu

Ensuite, j’ai transmis mon savoir aux technico-commerciaux pendant dix ans, après m’être auto-formé. J’ai fini par passer une VAE, juste pour officialiser ce que je savais déjà faire. Ce n’était pas toujours simple, mais j’ai appris à aimer ce métier et lorsque je transmets, je « prends vraiment mon pied ».

Le chef produit marketing : l’art de parler technique avec des mots simples

Mon dernier poste consiste à donner du sens aux produits industriels. Une décennie de communication technique, c’est l’art de comprendre ce que veulent vraiment les clients et de rendre les choses compliquées plus accessibles.

Pourquoi Transmiz ?

Ce blog est une façon d’apprendre à partager mes connaissances autrement et d’inciter d’autres personnes à faire de même. Découvrez Transmiz, parce qu’après tout, transmettre ses passions et son savoir, c’est aussi rendre le monde un peu plus riche.

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